[Liminaire] Allègre Antoine,
 A tresreverent, et tresdigne Prelat, M. Guillaume du Prat, Evesque de Clermont, Antoine Alaigre humble Salut,
« Monseigneur, ces jours passés estant retiré pour quelque temps au Villaige, et prenant le plaisir, et commodité des champs... », f. 1 v° - f. 2 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Allègre Antoine,
 Au lecteur,
« Amy lecteur, j'ay usé en la presente traduction (comme voyrras) de la plus grand' facilité, qu'il m'a esté possible... », f. 3 r°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Allègre Antoine,
 Du Mespris de la court et de la louange de la vie Rusticque,
« Apres que le tresillustre Prince Philippe Macedo eut vaincu les Atheniens... », f. 3 v° - f. 52 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Héroët Antoine,
 La Parfaicte Amye,
« J'ay veu Amour pourtraict en divers lieux », f. 52 v° - f. 82 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] La Borderie Bertrand de,
 L'Amie de court,
« Je m'esbais de tant de folz espritz », f. 83 r° - f. 99 r°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Post-Liminaire] Angier Paul,
 De mort en vie. Angier aux lecteurs touchant sa devise De mort à vie,
« Si ma devise on voit prise d'aulcun », f. 99 r° [post-liminaire à l'Amie de Court]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Post-Liminaire] La Borderie Bertrand de,
 A l'ung de ses amys,
« Amy, pourquoy me veulx tu tant reprendre », f. 99 r° - v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Post-Liminaire] La Borderie Bertrand de,
 Enigme,
« De ma nature immobile je suis », f. 99 v° - f. 100 r°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Fontaine Charles,
 A Tresillustre, et Treshumain Prince et Prelat, Monseigneur, Monseigneur Reverendissime le Cardinal de Lorraine,
« La grand amour que ton hault cueur tousjours », f. 100 r° [liminaire à la contre amye d court]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Le Rocquez Robert I,
 Epigramme de M.R.R. parfaict amy de l'autheur,
« Si j'ay trouvé, grace et ferme amytié », f. 100 v° [post-liminaire à l'Amie de Court]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Fontaine Charles,
 La Contr'amye de Court,
« Quand je congneu que l'Amye de Court », f. 100 v° - f. 123 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Héroët Antoine,
 Epistre de l'Autheur au Roy Françoys premier de ce nom,
« Ce me sera grande presumption », f. 123 v° - f. 126 r° [liminaire à l'Androgyne de Platon]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Héroët Antoine,
 L'Androgyne de Platon,
« Au premier temps, que le monde vivoit », f. 126 v° - f. 131 r°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Héroët Antoine,
 Aultre invention extraicte de Platon. De n'aymer point sans estre aymé,
« Venus pensant son filz doulx, et plaisant », f. 131 r° - f. 132 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Héroët Antoine,
 Complaincte d'une dame surprinse nouvellement d'Amour. Autheur La Maison neufve,
« Est ce plaisir d'incertaine asseurance », f. 133 r° - f. 138 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Angier Paul,
 L'honneste Amant,
« Ceulx là bien folz et indiscretz repute », f. 138 v° - f. 154 r°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Post-Liminaire] Angier Paul,
 Epigramme par l'autheur de l'honneste amant. Aux lecteurs,
« Si vous voulez à nostre amant honneste », f. 154 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Dolet Etienne,
 Estienne Dolet au Lecteur Salut,
« Ce n'est pas tout, Lecteur, d'avoir repceu telle grace de Dieu, que l'on soit excellent, et eminent par sur les aultres en quelque sçavoir... », f. 155 r° [liminaire au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Habert François,
 Huictain de Cupido Dieu D'amours,
« Pourquoy dit on les yeulx estre bendés », f. 155 v° [liminaire au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Habert François,
 Dizain de Cupido et de sa mere venus,
« Ung jour vouloit desbender ses deux yeulx », f. 155 v° [liminaire au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Habert François,
 Dizain. La raison pour quoy on painct Venus, dorée et riante,
« Pourquoy painct on la belle cytherée », f. 156 r° [liminaire au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Papillon Almanque,
 Le nouvel amour inventé par le Seigneur Papillon,
« Ung jour Venus, de sa chambre dorée », f. 156 v° - f. 170 v°
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] Salel Hugues,
 Dizain de l'aucteur et d'amour,
« Amour me dict, souventesfoys escriptz », f. 171 r° [appendice au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] Salel Hugues,
 De luy et de Venus,
« Ung jour Venus desirant me fascher », f. 171 r° [appendice au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] La Perrière Guillaume de,
 De folle amour,
« Pour folle amour, les supostz de Venus », f. 171 v° [appendice au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] La Perrière Guillaume de,
 Autre,
« Le fruict demeuré, est dur mol sec et vert », f. 171 v° [appendice au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] La Perrière Guillaume de,
 Aultre Dizain de Cupido,
« Cupido sçait, enter jusques au bout », f. 172 r° [appendice au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] Marot Clément,
 Epistre à son Amy, en abhorrant folle amour, par Clement Marot,
« J'ay tousjours sçeu, par le conseil des sages », f. 172 r° - f. 174 r° [appendice au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] [Tout en espoir],
 Elégie,
« Epistre allés, amour vous le commande,Ma chair sursault, mon esprit est en doubte », f. 174 r° - f. 175 r° [appendice au Nouvel Amour]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] [Tout en espoir],
 Ensuit l'epistre douloureuse, de l'amant à son Amoureuse,
« S'il est ainsi, ma Dame debonnaire », f. 175 v° - 176 r° [appendice au Nouvel Amour]